Au détour d’une conversation sur l’investissement en général, une amie (et des meilleures) m’a dit :
« Votre focus mensuel, c’est super ! Mais je comprendrais mieux si vous me racontiez une histoire. Ce serai plus simple pour moi, si je pouvais m’identifier et reconnaître mon intérêt dans ce que vous expliquez… »
Du coup, nous nous sommes essayé à l’exercice !
Nous vous présentons donc « l’investissement en 3 actes » par La Peyrouse Finance :
Acte 1 : L’investissement immobilier
« L’autre jour, au fil de mes pensées, je rencontrais Monsieur Candide. Celui-ci , tout à son affaire, et pas du tout en train de cultiver son jardin avec son « pote Voltaire », m’inondait de questions à commencer par celle-là :
Mr Candide : – J’aimerai faire le point sur l’actualité des investissements et les bonnes questions à se poser et notamment :
Quid de l’investissement immobilier ?
Mme LPF : – L’investissement immobilier est une préoccupation pour beaucoup de personnes.
En effet, il permet d’investir sur des actifs tangibles procurant des revenus réguliers et, le cas échéant, en utilisant l’effet de levier de l’endettement bancaire.
Et comme nous le disions lors de nos précédents posts, c’est un investissement pertinent, dès lors que vous le faites bien accompagné. Par le cabinet La Peyrouse Finance (par exemple 😉) afin d’éviter les écueils.
Mr Candide : – Les écueils ?!
Mme LPF : – Il faut savoir si vous pouvez le faire dans le cadre d’un investissement immobilier ouvrant droit à une déduction fiscale.
Mr Candide : – Comme Pinel, Censi-Bouvard, Malraux, etc … vous voulez dire ?
Mme LPF : – Oui, c’est ça ! Il faut que nous fassions des simulations avec votre dernier avis d’imposition, pour le définir et voir ce qui vous correspond.
Et avant tout investissement, nous devrons définir aussi votre profil de risques.
Mr Candide : – Vous voulez dire qu’il y a des risques ?!
Mme LPF : – J’ai surtout dit que nous devions définir ce que vous souhaitiez comme type d’investissement en précisant le couple rendement/risque.
Mr Candide : – Alors moi, j’aime surtout être tranquille ! Mais ce n’est pas l’adresse qui est importante ? Et vous m’avez même pas parlé de la nue propriété !
Mme LPF : – Je n’en ai pas encore parlé !
La nue propriété étant un montage financier pour investir dans l’immobilier.
La nue-propriété est le droit pour un propriétaire appelé « nu-propriétaire » de disposer d’un bien ou d’un actif sans en percevoir les revenus pendant une période limitée au terme de laquelle il récupérera l’usufruit et sera pleinement propriétaire… read more
Maintenant, vous me parliez de l’adresse pour votre investissement immobilier supposé.
Effectivement, l’adresse est importante : grande ville, bon quartier, bien desservi en moyens de transports, avec des commerces à proximité, des sites en expansion, avec un besoin réel en matière de logements, avec une possible plus value à la sortie…
Ceci en résumé, mais le choix est beaucoup plus subtil que cela, d’autant que, pour le locatif meublé, il faut aussi étudier le bail qui devient presque prioritaire sur les autres critères !
Mr Candide : – Le triple net, c’est ça !
Mme LPF : – En effet, le triple net qualifie un bail dans lequel toutes les charges et dépenses liées à l’entretien et aux travaux de l’immeuble sont récupérables par le Bailleur auprès du Preneur.
À l’exception toutefois de ceux relevant de l’article 606 du Code Civil que le Bailleur ne peut plus refacturer au Preneur depuis la loi dite PINEL de 2014 (les gros travaux qui restent à la charge du propriétaire).
Acte 2 : Les investissements financiers
Mr Candide : – Et qu’en est-il des investissements financiers ?
Mme LPF : – Alors oui, les contrats d’assurance vie…
Mr Candide : – Je vous coupe, oui oui, on connaît. Mais j’aimerais que vous me parliez des produits structurés !
Mme LPF : Un produit structuré est un titre de créance émis par une banque.
Le rendement du produit structuré dépend d’un sous-jacent.
Mais je vous invite à regarder notre Speakeasy de ce mois-ci qui traite le sujet et vous le mettra en bouche !
Mr Candide : – Et que pouvez-vous me dire des allocations d’actifs ?
Mme LPF : – Notre positionnement aujourd’hui est autant que faire se peut de construire un patrimoine au fil du temps, mais avec une visibilité à long terme !
Pour reprendre un de nos fournisseurs avec lequel nous partageons les vues :
« Élaborer une solution d’investissement de long terme nécessite ainsi un processus rigoureux. Celui-ci doit donc offrir flexibilité et diversification au travers de trois moteurs de performance (actions, obligations et devises). Et viser à constituer un cœur de portefeuille resserré autour de vainqueurs stratégiques durables. Le tout en demeurant très attentif aux risques d’instabilité comme aux opportunités tactiques. »
Carmignac Patrimoine conjugue des analyses « top-down » et « bottom-up » et n’est pas contraint par un indicateur de référence, lui permettant ainsi d’être à la fois réactif et en mesure de dénicher les opportunités attractives sur le long terme.
Et tirer parti des grandes tendances.
Mr Candide : – Sérieusement ?! Top-down ? Bottom-up ?!
Mme LPF : – Ce sont des démarches intellectuelles.
Les stratégies « top-down » et « bottom-up » sont deux modes opposés de gestion de portefeuille.
La stratégie « top-down » (du haut vers le bas) part d’une analyse macro-économique pour descendre vers les secteurs boursiers, puis vers les valeurs à privilégier.
La gestion « bottom-up » (du bas vers le haut) cherche à repérer directement, au cas par cas, les sociétés prometteuses dont les titres sont sous-évalués : les futures pépites.
Sinon, moi, je voulais vous parler du Girardin industriel qui vient d’ouvrir son enveloppe.
Ce dispositif permet au contribuable de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu.
Notre cabinet travaille, pour sa mise en place, avec un fournisseur qui permet de faire cet investissement dans un cadre très sécurisé.
Mr Candide : – Ah oui, très intéressant !
Mme LPF : – Et la mise en œuvre est très simple.
Mr Candide : – Ok super et sinon, qu’est-ce qu’on mange ce soir ?!
Mme LPF : – ?!!
Acte 3 : La phrase pour vos dîners en ville
« – Et alors, comment tu lui as annoncé ?!
– J’ai profité du dîner de la Saint Valentin et j’ai pris un biais financier. Voici notre échange :
MOI : – …Chéri, tu te souviens, il y a 8 ans, quand je t’avais dit d’ouvrir un contrat d’assurance vie et de l’alimenter tous les mois pour faire des économies ?
LUI : – …OUI …
MOI : – Et tu te souviens que je t’ai dit qu’on ne s’en rendrait même pas compte et qu’au bout du compte on serait content de l’avoir fait…
LUI : – Oui… donc ?
MOI : – Et bien, on a aujourd’hui un capital de 55 000 € et, à partir de maintenant, on peut sortir à tout moment sans fiscalité !
LUI : – Ah bon ?!
MOI : – Du coup, je me suis dit que ce serait bien comme apport pour l’appart à vendre qu’on a vu l’autre jour sur internet… tu sais… avec la deuxième chambre…
LUI : – Oui, peut-être …
MOI : – Chéri…
LUI : – Oui ?!
MOI : – Je suis enceinte !
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