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Ou comment faire sa part contre le réchauffement climatique : agir de façon éco-responsable. Et pas seulement pour la journée mondiale du climat !
Investissement éco-responsable

©️ John Mark Smith

D’aucuns diront qu’en l’absence de Nicolas Hulot alias Ushuaia, rien n’est plus pareil ! Mais, comme dans le plus mauvais des Tarantino, il nous reste la BO !

Donc, la chanson ou plutôt l’air étant présent : le leitmotiv « agir pour le climat » nous revient. Et en vrai on a besoin de personne pour se prendre par la main ! Et surtout pas d’un messager qui se déplace en hélicoptère pour défendre l’empreinte carbone, non ?!

Du coup, La Peyrouse Finance vous dit :  « investir dans la Forêt », placement d’avenir s’il en faut, à la fiscalité avantageuse, serait une option valable (et éco-responsable ! 😉).

En effet, La Peyrouse Finance dit que l’on pourrait faire cet investissement via un GFF (ou Groupement Foncier Forestier), c’est une classe d’actif qui vend l’écosystème forêt.

  • C’est un actif long.
  • C’est un actif décorrélé des marchés financiers.
  • C’est peu volatile.
  • Le prix à l’hectare est l’étalon.
La demande est considérable et l’offre est limitée.

La Peyrouse Finance dit que l’on pourrait également assortir à cet investissement vert, un autre investissement labellisé ISR  (Investissement Social Responsable : application des principes du développement durable aux placements financiers).

Ce label est né de la prise de conscience du tarissement prochain des ressources naturelles (Sans blague ?! Il était temps !). D’où la nécessité de réduire l’empreinte de l’activité humaine sur la nature (trouver un équilibre en quelque sorte, on est tous d’accord !).

Et ça c’est agir de façon éco-responsable !

Une seule citation me vient : celle de Darroussin dans le film « Le Cœur des Hommes »

« Qu’est-ce que je ferais si j’étais moins con ?! »

Je vous laisse méditer là-dessus…

La minute culturelle :

A voir absolument : l’expo « Moderne Maharajah », un mécène des années 30 (c’est très sexy et prometteur comme début ne trouvez-vous pas ?). Et je vous assure s’il en était besoin, que tout l’imaginaire, le faste et le luxe que l’on mettait enfant et pour ma part encore aujourd’hui derrière le mot Maharajah, se trouvent au musée des Arts Décoratifs de Paris jusqu’au 12 janvier 2020 !