Quand on interroge internet sur le sens du cahier des tendances, on trouve ce type de définitions :
Un cahier des tendances, initialement, est un outil qui est principalement utilisé dans le domaine de la mode. Et ce, pour anticiper les modes futures.
Il analyse les signaux, phénomènes et tendances socio-culturelles. Mais également les tendances économiques et technologiques qui peuvent annoncer les évolutions futures du secteur d’activité considéré.
Les bureaux et agences de style sont utilisés par les marques et créateurs pour orienter les choix relatifs à leurs futures collections.
Les cahiers pourraient autant influencer les tendances qu’ils les analysent.
Le principe des cahiers de tendances est désormais sorti de l’univers de la mode. Et il se retrouve dans un grand nombre de domaines du commerce et marketing.
En ce qui me concerne, j’en était restée à la feuille épinglée au mur de la salle d’édition d’un grand magazine.
Cette dernière compartimentée par :
- De nombreuses photos
- Plusieurs croquis de stylistes
- Quelques échantillons de tissus
- Des essais de couleurs
- L’affiche du dernier film en vogue
- La première de couv du best-seller du mois ou de l’année
- Les mots-clés de l’interview importante de l’homme politique du moment
- L’enseigne d’un resto à la mode …
… bref un joyeux « foutraque ».
Alors, l’idée m’est venue de faire mon marché dans ce bazar chic (par exemple selon jean-jaures.org) pour le ramener à la finance.
Car assurément tout cela a un impact, une influence et définit les tendances.
Donc, selon jean-jaures.org pour les tendances (ce qui ressort essentiellement, ce sont des mots, des expressions, des courants…).
Et selon LPF (la reprise de ces tendances) pour le lien à la finance :
- Sans contact, au point de l’imposer comme une norme.
Le début d’une solitude moderne.
La banque précurseur en matière de règlement sans contact, renforcé avec la COVID, ne pas échanger de monnaies : le sans contact roi.
Mais LPF pour autant privilégie le conseiller proche de son client en respectant son souhait de distanciation, s’il y a lieu, par tous les moyens médias à notre disposition.
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- Pour le monde d’après : le solidarisme, une ancienne doctrine.
Les investissements solidaires labellisés existent.
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- Peuples autochtones : les nouvelles manières de concevoir le monde et les interactions avec le milieu naturel invitent à considérer l’homme comme une entité faisant partie intégrante d’un tout.
Les investissements dans le monde entier sont possibles. LPF en a un panel à vous proposer.
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- Permafrost : La fonte du permafrost, mot désignant l’ensemble des sols qui ne dégèlent jamais en profondeur, pourrait s’avérer lourde de menaces environnementales, bactériologiques et géologiques. Un point méconnu mais central des échéances climatiques.
Les investissements sur les énergies renouvelables : ENR, électricité verte qui regroupent l’éolien, la biomasse, le solaire, le thermique, l’hydrogène et l’hydraulique.
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- One Health : mouvement initié au début des années 2000, « une seule santé » défend une approche intégrée et unifiée de la santé humaine, animale et environnementale.
Nous ne guérirons que les uns avec les autres, dans une approche globale du vivant.
Une approche globale cohérente est une approche à laquelle le cabinet LPF adhère totalement pour son intelligence et son efficacité indiscutable.
C’est d’ailleurs ce que la société La Peyrouse Finance met en place pour la gestion et l’analyse globale d’un patrimoine.
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- Objets connectés : illustre les progrès de recherche en matière de robotique.
Un progrès technique qui nous interpelle sur la manière de concevoir des systèmes d’intelligence artificielle respectant les valeurs humaines essentielles à notre vie en société.
Les robots pour ce qu’ils ont d’utiles et de moyens : oui !
Pour démultiplier les analyses financières mais toujours dans le respect de l’éthique.
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- Notation : dédiée longtemps au secteur financier, la notation de produits et services est sortie des salles de marché pour toucher le grand public.
Notation financière externe ou notation de la dette ou rating : c’est l’appréciation, par une agence de notation financière, du risque de solvabilité financière d’une entreprise, d’un Etat ou d’une autre collectivité publique, nationale ou locale, d’une opération.
La notation financière (rating) tente de mesurer la qualité de la signature d’un emprunteur.
Elle reflète la perception du risque de non remboursement d’une dette. Le Triple A est visé.
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- Lieux infinis : exploration des processus collectifs pour habiter autrement le monde, des lieux ouverts, communs, non finis instaurent des espaces de liberté où se cherchent les alternatives sociales et politiques.
Les pépinières, les open-spaces, les halls de grands hôtels, mais se réunir aussi virtuellement sur Zoom, Teams, etc…
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- Liens faibles : des liens différents des solidarités familiales, professionnelles et amicales traditionnelles jouent de plus en plus un rôle clé dans nos socialités.
Une importance redoublée avec la distanciation sociale désormais au cœur de nos vies, avec de nouvelles formes d’interdépendances.
La solidarité et l’accompagnement ont pris un nouveau sens … moins creux peut-être, et c’est une bonne chose !
La solidarité est pour LPF un lien social fort, solide. Dans la même lignée, le lien au client par l’empathie, le process win/win est la base d’un échange commercial durable.
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- Le géomimétisme développe une approche systémique nouvelle visant à réencastrer l’humanité dans les limites planétaires.
Non, sans complication ultime, c’est plutôt permettre à la nature de se réparer elle-même en cessant de la vandaliser, en lui laissant du temps… bref des principes de bon sens…
LPF en est un adepte indéfectible.
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- La figure du futurologue émerge dans le débat public avec une promesse.
Celle de décrypter le présent afin d’anticiper les répercussions d’aujourd’hui sur demain.
Une forme de résistance par l’anticipation des catastrophes futures et l’ambition de produire de nouveaux récits collectifs.
Mais ils ont toujours existé ces gens-là, on les appelait différemment, mais en matière de finance, les analystes en tous genres leur ressemblent fortement…
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- Défiance scientifique : de plus en plus affirmée envers la science, repose souvent sur des confusions épistémologiques.
Précipitations, réductions, querelles de légitimités, les phénomènes qui s’y attachent fragilisent ce qui fut longtemps l’un des repères les plus solides de nos sociétés.
Est-ce que pour autant on ne doit pas investir sur la santé ?!
Les actions du secteur de la santé ont été sous les feux de la rampe depuis le début de la pandémie et certaines d’entre elles ont enregistré des gains importants.
Dans ce monde post-pandémie, interrogez le Cabinet La Peyrouse Finance pour connaître celles qui semblent encore intéressantes en matière d’investissement.
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- Customisation : grosse tendance du moment dans le monde des entreprises.
La customisation traduit l’évolution de notre rapport à la consommation, en s’opposant au modèle traditionnel fondé sur la standardisation.
Une autre façon d’interroger l’individu contemporain, et d’entrer dans « l’âge du faire ».
En matière de finance aussi on fait du sur mesure, et la société LPF est bien placée pour en parler…
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Complotisme : la montée du complotisme pousse à profondément interroger le statut de la vérité dans nos sociétés démocratiques.
Elle est l’un des symptômes majeurs de la difficile recherche par l’homme de son autonomie moderne.
Ou quand on n’a pas les réponses à ses questions… chose qui n’arrivera pas avec le Cabinet LPF !
En effet, dans nos domaines de compétences nous vous apportons les réponses en adéquation à vos demandes, votre situation, vos capacités et votre profil.
Et pour le reste, nous vous mettons en relation avec des professionnels validés par notre staff pour leur savoir-faire et que nous vous recommandons.
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- Chaise pliante : objet symbole du confinement, la chaise pliante incarne la nouvelle façon de « vivre avec un virus ».
Un outil d’improvisation permanente et d’hypermobilité qui parle de nouvelles figures de l’individu.
LPF dirait adaptabilité, ce qui, en toute modestie et humilité, nous caractérise aussi.
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- Stock : repensons ce que nous accumulons, ou pas.
Le stock-picking : les investisseurs débutants sont nombreux à se demander comment investir en bourse.
Le stock-picking est une stratégie d’investissement en bourse où l’investisseur sélectionne directement les titres qu’il souhaite détenir en portefeuille (CTO ou PEA) après une analyse approfondie de l’entreprise.
Il s’agit de battre le marché.
C’est à dire de faire mieux que la gestion pilotée ou que de simples trackers accessibles à « Monsieur tout le monde ».
Cette approche est réservée aux passionnés de la bourse ayant des connaissances financières étayées.
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- Inventer une politique du Vivant, d’une radicalité inédite.
Pour le cabinet LPF, le client est unique !
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- Zoom towns : associant l’expression de « boom town » et le nom du logiciel de visioconférence, les Zoom Towns désignent les petites villes qui attirent de nouveaux télétravailleurs.
Un plus grand espace de vie, moins de transport quotidien, la proximité de la nature sont autant de critères mis en avant pour expliquer ces nouvelles stratégies résidentielles.
Et ces nouvelles stratégies résidentielles donnent de nouveaux axes pour investir dans la pierre.
Définir les tendances des nouvelles destinations éligibles à l’investissement résidences principales et, de fait, résidences locatives donc !
La phrase pour vos dîners en ville :
« – Mouais, mouais,… c’est sûr, moi je préfère le truc avec la feuille-là, comme vous avez dit au début… ça s’annonçait bien ! Et si je passe en revue votre veille, au total… ce qui me plaît, le plus, c’est le mode : « ZOOM TOWN » !
Après, pour rendre votre cahier des tendances un peu plus fun, on aurait pu, sommes toutes et en vrac :
- Coller un badge du prochain salon : Expo Maison et Objet Paris Nord Villepinte !
C’est quand même par le cocooning que naît l’envie d’habiter… choisir ses objets entre donc en étroite relation avec n’importe quel investissement immobilier pour le locataire ou le propriétaire d’ailleurs… et avec ces confinements à répétition, si c’est pas dans l’air du temps, ça… »
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