À vos formations, prêts, partez !
Il ne s’agit pas de se précipiter.
Mais il est urgent de se former à l’IA qui avance à grands pas et dont l’enjeu est clairement de nous remplacer dans toutes les taches ingrates et répétitives.
Et, par voie de conséquence et extension, nous remplacer en partie !
Du coup, il faut se réinventer.
Il faut travailler sur notre plus-value irremplaçable, notre part humaine au potentiel énorme que l’on avait plutôt laissée en sommeil jusqu’alors.
Et utiliser cet outil fantastique, un assistant au super pouvoir de l’intelligence, pour une production plus légère, plus ciselée et étayée.
Et ce, en utilisant l’analyse fournie des datas qui nous livrent des statistiques au plus près d’un modèle, et incitent à agir dans un sens donné de manière artificielle.
À nous de donner à ce sens une validation humaine !
En matière de gestion de patrimoine, on peut imaginer que toutes les études, les comparatifs boursiers qui créent des précédents, aident à la décision.
Les scenarii économiques qui projettent les réactions en chaîne et les effets dominos vont être facilités par ce recoupement par logiciel assisté des données.
Et, ainsi, par voie de conséquence cela permettra de prendre des décisions plus pertinentes ou plus rapidement efficaces dans le temps.
La course contre la montre étant un des éléments de réussite et donc d’opportunités saisies avec optimisation du résultat dans ce trade sur les marchés boursiers.
On peut aussi se dire que cet outil sera une aide à la redéfinition du profil client.
En effet, ce dernier ainsi assisté pourra prendre des décisions plus circonstanciées et donc moins effrayantes.
Bien évidemment, la lecture de ces fruits de réflexion doit encore être interprétée, expliquée, temporisée.
Et pour cela vous pouvez compter sur les conseillers du cabinet La Peyrouse Finance. 🤓
Les cabinets de tendance nous disent que cette aide qualifiée arrive au bon moment car la nouvelle ambition qui se détache est :
« Bosser moins pour vivre mieux ! »
Les anciens modèles de fonctionnement au travail, « fidélité et acharnement« , ne fonctionnant plus.
Son mantra : éviter de viser les postes trop exigeants qui conduiraient à se sacrifier pour un système ingrat.
Une nouvelle apologie du cool, sous le signe de la paresse en réponse aux injonctions trop nombreuses et donc contre productives.
Les cabinets de tendance (toujours eux) sont raccords pour nous dire que nous passerons plutôt en mode « Lazy ».
À commencer par nos looks.
Lazy : au bureau, à la maison, ou dans nos tenues, la tendance est au moindre effort.
On adopte ce style « Lazy », ou la paresse érigée en mode de vie.
Quand à lui, le lazy luxe est la version relax et maligne du quiet luxury (luxe discret pour ceux qui n’auraient pas suivi).
Par exemple : se lover sous une couverture, pardon un plaid (mais au moins Hermès).
Autre déclinaison du phénomène : la paresse dans la vie privée (où l’on nous apprend à laisser de côté tout sentiment de culpabilité).
La question que se pose LPF alors est :
Dans quelle mesure ces cabinets de tendances ne fonctionnent–ils pas à rebours et nous impriment-ils pas un comportement qui induit une économie et influence tout un marketing allant de la mode, à la façon de se nourrir, à la santé et l’art ?
Et ce, en faisant simple et en survolant la question,… mais pas que !
En effet, une réflexion plus profonde s’en suit.
Décrypter fait partie de nos attributions.
Et nous pensons, au sein du cabinet La Peyrouse Finance, que démonter un système de pensée est une des manières de se singulariser par rapport à une intelligence artificielle qui reproduit plus qu’il n’imagine (bien que cela viendra peut-être avec la marge de progression que l’on pressent, et ce n’est pas R2D2 qui nous contredira, encore que nous ne sommes à l’abri de rien ! tout est une question de temps…).
Donc, pour pallier ce que l’on veut nous faire croire, LPF pense qu’au contraire nous sommes dans une aire de travail intense et profond pour contre carrer la crise, ou les crises :
- La crise économique
- La crise financière
- La crise immobilière
- On en passe et des meilleures…
Bref, seuls les persévérants, les ingénieux, les travailleurs subsisteront selon nous.
Comme d’habitude, le maître mot étant de « s’adapter ».
Il ne faut pas se laisser endormir et trouver des voies !
Ainsi, le truc serait d’engager un processus étonnant et subtil où se télescoperaient les émotions, les sentiments et les hormones.
Un état de conscience modifié que l’on atteint lorsqu’on est concentré sur une activité au point de tout oublier.
Autrement dit : le « flow ».
Le « flow » a été théorisé par le psychologue hongrois Mihàly Csikszenimihàlyi dans les années 1970.
Se dissociant du temps et du moi, le « flow » procure une sensation de fluidité, d’énergie et de satisfaction intense.
Maintenant, est-ce que les finances sont « flow » compatibles ?
Peut-être pas, mais est-ce que le Cabinet La Peyrouse Finance peut les rendre « flow » compatibles ?
Alors, comme disait Oppy dans le dernier Nolan, c’est paradoxal mais possible !
Ainsi, lorsque LPF vous accompagne, vous conseille, vous explique tous les tenants et les aboutissants de la construction et gestion de votre patrimoine, lorsque votre conseiller de la société La Peyrouse Finance rend tout cela accessible, les choses deviennent claires et non rébarbatives.
Vous avez tout en main et êtes rassérénés.
Les conditions pour vivre une expérience flow sont au nombre de six :
- Réaliser une tâche avec un objectif clair : construire son Patrimoine avec le Cabinet La Peyrouse Finance, par exemple.
- Être capable de savoir où l’on en est par rapport à notre objectif : LPF vous fait un suivi régulier.
- Avoir le contrôle de ses propres actions : avec le cabinet La Peyrouse Finance, vous êtes toujours le décisionnaire.
- Être concentré sur sa tâche, sans dérangement : les rendez-vous exclusifs avec votre conseiller LPF sont des moments privilégiés où vous pouvez poser toutes vos questions en toute confiance.
- Que la tâche constitue un défi réalisable : la société LPF rend accessible le langage un peu ésotérique des financiers.
- Que cette mission ou cette tâche soit porteuse de sens, avec un réel intérêt pour son sujet : avec La Peyrouse Finance : construire, thésauriser, se prémunir, transmettre, autant de projets fondateurs et essentiels dans la vie
CQFD
Et là, vous avez atteint les composantes du flow, à savoir :
- la concentration
- l’implication
- le lâcher-prise
- la focalisation
- le contrôle
- et le bien-être
Bref, une centration positive, ce qui n’est pas rien tout de même !
Cette sensation de comprendre fait que les diverses parties de votre cerveau se synchronisent, et créent une cohérence, une concordance neuronale qui favorise la fluidité et la perte de conscience du temps.
Le tout formant une expérience immersive et bénéfique, qui, enfin, aura également un impact positif sur tout votre être et donc votre façon d’être.
Du coup, peut-être, en plus de notre étiquette financière, pourrions-nous nous référencer également dans la rubrique bien-être, qu’en dites-vous ? 😉
La minute culturelle :
- « Argylle » : une comédie d’espionnage décalée, où l’Argylle’s girl, et le héros n’ont pas forcément un physique stéréotypé que ce genre préconise généralement, mais l’emportent « haut les mains » dans ce tourbillon d’action dopé à l’adrénaline !
Enfin, ne partez pas avant la fin du générique, une petite douceur de « non fin » vous sera servie.
Attention spoiler : en lien avec la série Kingsman !
- « Daaaaaali ! » : comment dire… un piège abyssal ! s’abstenir !
- « Madame Web » : le dernier Marvel (avec une Dakota Johnson plutôt concernée) n’est pas exceptionnel. Mais c’est plutôt une préparation, une installation pour une série plus prometteuse !
Car, la relève, la jeune garde entourant le personnage principal est une belle promesse…
Quant à Tahar Rahim, est un peu perdu dans cette grosse production, mais on lui pardonne car très beau ! Cela reste dans l’ensemble un bon moment.
En rattrapage sur les plateformes et après l’incitation des Césars :
- « Oppenheimer » : de Christopher Nolan en dit beaucoup de son auteur à son apogée, entouré d’une kyrielle d’acteurs qui donnent leur maximum (Robert Downey Junior au sommet de son art est à noter) et Emily Blunt la part d’humanité nécessaire, avec tous ses prismes, (super bien rendu) à cette part dramatique de l’histoire américaine.
En revanche, mais comme toujours chez Christopher, des longueurs.
Même si la courbe du temps est élastique, il tire beaucoup sur la ficelle avec au moins de 30 minutes de trop !
Source : article inspiré du magazine ELLE et Elle à table.