« De l’influence des mots clés et des petites phrases qui créent l’atmosphère !… »
Beaucoup d’entre nous partagent le même « sentiment d’incertitude »* quant au contexte national et mondial. Le discours politique est très « anxiogène »* !
Les mauvaises nouvelles pleuvent, on prend conscience de beaucoup de choses, mais sans les solutionner !
Cela rend la période extrêmement inquiétante.
Entre la «transition écologique »* ( la « révolution climatique »* qui fait peur !), « le time’s up ! »* ( la « fin de l’abondance »* ), et « La polycrise »* qui désigne l’impression actuelle de voir de multiples chocs se succéder.
Cette « disruption »* n’a rien à voir avec la frivole destruction créative prônée sous l’ère des start-ups licornes.
Je vous rappelle qu’en matière d’économie, la disruption désigne le « bouleversement »* d’un marché sur lequel les positions sont établies avec une stratégie « inédite »*.
La mondialisation et la « digitalisation »* ont entraîné des changements profonds dans les habitudes de consommation. Et ont eu un impact considérable sur les échanges commerciaux.
De telles « mutations »* rendent, en revanche, très compliquée la prise de décisions stratégiques et financières.
Nous vivons dans un monde Volatile, Incertain, Complexe, et Ambigu.
Autrement dit, le « VICA »* (notion créée par l’armée américaine durant la Guerre Froide) s’applique désormais aux entreprises du secteur privé.
Pour réussir dans un monde VICA, le leader doit apprendre à « danser »…
De surcroît, les problèmes climatiques prônent au premier plan le changement de la donne dans de nombreux domaines.
Compte tenu de toute cette problématique, le client est très perturbé. Et il est perdu dans les méandres de choix multiples sans une visibilité satisfaisante.
Il doit donc se faire violence.
Et prendre une part de risques plus importante que celle à laquelle il est habitué.
Le monde de changements :
Les formats numériques ont pris une place prépondérante dans nos vies.
Notamment avec le couteau suisse qu’est devenu votre smartphone, et ont établi de nouveaux standards.
Ainsi, pour faire ses achats, on surfe sur le net, Amazon en truste le système !
Et une certaine défiance pour tous les acteurs additionnels qui peuvent être des sites frauduleux (des « fake »*) s’est installée.
La fidélité client a fait place à la « génération zapping »*, du coup il convient de mettre l’expérience client au centre des préoccupations commerciales.
Et, pour un métier de conseil comme celui de la finance, installer un climat de « confiance »* est indispensable !
Une proximité et une réactivité en temps réel permet au client d’être rassuré, accompagné et positionné sur ses choix.
Ces derniers peuvent évoluer car suivis au plus près.
Et c’est précisément ce que la société La Peyrouse Finance sait faire !
LPF le met en pratique avec tous ses clients et cela lui vaut donc une recommandation sans faille !
Le cabinet La Peyrouse Finance tient compte aussi de la nécessité aujourd’hui d’investir dans des projets en conformité avec l’effort écologiste :
- dans le financier avec des « fonds d’investissement ISR »* ( investissement socialement responsable ), « ESG »* ( approche environnementale, sociale et de gouvernance)
- dans l’immobilier « RT 2020 »* (respect de la réglementation thermique devenue «réglementation environnementale »*, inscrite dans une action continue et progressive en faveur des bâtiments moins énergivores).
Développement durable !
« Le succès étant une invitation à s’endormir »*, la société LPF est toujours en mouvement et en veille sur les performances de ses partenaires.
De plus, nous n’hésitons pas à en renouveler la liste pour accéder aux meilleurs, réactualisés en permanence, pour offrir « the must and the best » à ses clients !
Dans ce monde de changement, la pandémie a accéléré la réinvention des métiers.
Exercer différemment : « se réinventer… »*.
Il y a 2 façons de se réinventer :
- incrémenter tous les jours par une progression journalière
- ou faire un saut décisif !
Dans tous les cas, aujourd’hui se réinventer, notamment en fonction des formats numériques, est plus que nécessaire, même vital :
- visio
- signature électronique
- notoriété par le biais des réseaux sociaux
- recrutement clientèle par sa visibilité sur le net
- utiliser la tech
- les algorithmes
- les datas …
Virage que le Cabinet La Peyrouse Finance avait pris bien avant le COVID19 avec le CLIENT et le parcours CLIENT au cœur du système (« Le meilleur moment pour changer, c’est lorsque ce n’est pas nécessaire ! »*).
Savoir aussi prendre en compte que tout s’est amplifié, que nous sommes devenus impatients (la précarité de nos vies ayant été mise en exergue, il nous devient encore plus difficile de perdre du temps, attendre n’est pas une option, agités et inquiets que nous sommes…).
Aujourd’hui, les succès sont très rapides (les échecs l’ont toujours été !).
Il faut choisir ses combats, avoir un projet beau et efficace ne suffit plus, il faut absolument qu’il soit dans le respect de l’écologie.
La planète : notre priorité !
Et nous tous, à des niveaux différents, avons besoin d’être guidés.
C’est pourquoi, la société La Peyrouse Finance dans le domaine financier, nous nous engageons auprès de nos clients et leur donnons des préconisations précises, engagées et argumentées.
Certes, il n’y a pas de modèle historique à ce que l’on vit.
Mais pour dépasser ce sentiment d’incertitude, on peut prendre des directions et des actions concrètes, avec des produits et investissements innovants, créatifs, résiliants. Mais surtout avec du sens, le sens de l’histoire c’est à dire éco-responsable, social, environnemental.
Répondre au besoin réel du client et non pas au besoin sollicité par un Steve Jobs qui disait de façon plutôt péremptoire :
« Les gens ne savent pas ce qu’ils veulent tant qu’on ne leur a pas proposé ! »*.
Apporter de vraies réponses et non pas des échappatoires.
« Une bonne réponse, c’est un conseil qui ne dit pas son nom »*.
Certains disent : un changement de paradigme doit s’opérer car, en effet, il faut arrêter de prévoir et commencer à se préparer à l’ère nouvelle.
La société La Peyrouse finance ne dit pas, elle fait dès aujourd’hui entrer ses clients avec elle dans l’ère nouvelle !
La minute culturelle :
Cinéma (rien de très excitant, donc toute l’équipe s’y est collé ! 😉)
- Avatar 2 : Je n’avais pas succombé à l’appel d’Avatar 1, du coup j’ai eu du mal à me bloquer 3H12 !
Un membre de l’équipe s’est « sacrifié » mais pas vraiment, il avait aimé le premier et, oh surprise, il a aussi aimé le second.
Conclusion, si vous avez été séduit par le premier Avatar, allez-y !
Mais si vous aviez été mitigé cochon d’inde sur le premier, attendez peut-être de le voir à la maison (en faisant autre chose…), sérieusement 3H12 de grands hommes bleus sur l’écran ! (ou alors préférez la version schtrumpf ! Où tout est plus petit même la durée).
- Chœur de rocker : Inspiré d’une histoire vraie, aurait pu fonctionner, mais Mathilde Seigner n’y a pas cru et de ce fait ne nous a pas convaincu ! À éviter…
- Babylon : 3H08 ! Ni Margot Robbie, ni même Brad Pitt ne m’ont incitée à le voir. Trop long pour décrire grandeurs et décadences d’Hollywood… Un membre de l’équipe y est allé et n’a pas aimé. Envoyez-nous vos commentaires si vous estimez qu’il est à voir !
Musique :
Nous avons eu la chance d’assister à un concert privé de la chanteuse Celeste, auteure-compositrice britannique mêle la soul et le blues teintés de jazz sur des mélodies R&B alternatif, néo soul !
Sa voix à mi-chemin entre celle d’Amy Winehouse et Mélodie Gardot, Celeste est une artiste complète, très jolie et talentueuse !
Nous vous engageons à écouter son album « Not your Muse » à l’univers très spécifique et actuel !
La série Netflix :
- « Emily in Paris » s’étiole un peu dans sa trame dans la saison 3 mais toujours aussi « girly » !
Petit écran :
À voir sur TMC la saison 3 de « L’agence », où l’on observe la famille Kretz dans son activité d’immobilier de luxe, nous donnant ainsi l’occasion de découvrir des lieux d’exception et des réactions d’acheteurs qui peuvent investir plusieurs millions sur un coup de tête pour un produit coup de cœur qui ne répond pas à leur demande initiale mais qu’ils s’offrent en plus !
Comédie musicale :
- 42ND STREET au théâtre du Châtelet : nous a laissé sans voix ! À voir absolument !
Théâtre :
- La Puce à l’oreille (vaudeville de Feydeau) à la Comédie Française vaut par le nombre et le jeu des acteurs, un décor et des costumes dignes de Roger Harth et Donald Cardwel, et le « bâtiment » lieu enchanteur s’il en est ! ! Que du bonheur !
- Le one woman show de Christelle Chollet humoriste dans son nouveau spectacle « Reconditionnée » dans son théâtre de la Tour Eiffel est toujours un bon moment, mais un peu moins pêchu que les précédents.
- Secrets hunters : nouvel escape game à Paris à faire en famille !
Expo :
- Années 80, mode, design et graphisme en France : plaisant mais ne casse pas trois pattes à un canard ! Pas une priorité !
