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La Peyrouse Finance - Amour, amour quand tu nous tiens...

Le mois de février est un mois très prolixe en matière de célébrations, dont l’amour et ses « Valentins ».

Il offre donc pléthore d’entrées en matière pour mon édito !

Le sujet étant de trouver un pont jusqu’à la Gestion de Patrimoine et le rapport avec La Peyrouse Finance !

J’ai longuement cherché un angle d’attaque avec la « journée du Nutella ». Mais force est de constater que sauf à dire que c’est certainement un « blue chip » (et même pas puisque Ferrero ne s’est pas côté en bourse !), il n’y a quand même pas grand chose à comparer…

Bref, ensuite je me suis essayée à la « journée mondiale pour sauver les ours »,  mais sortie du « marché baissier » ou « bear market » que nous avions déjà évoqué une fois précédente, on reste un peu court !

Du coup, j’ai choisi la facilité et le thème générique de « l’Amour ».

Car, une fois encore, son côté universel nous conduit sur tous les chemins ! Ne serait-ce que pour commencer l’amour de son métier !

Et La Peyrouse Finance en a fait son mantra « avec conscience et amour de la chose bien faite élevée au rang de l’art ! ».

LPF étiquetée « conscious and serious » !

Mais surtout pour le brio que chaque conseiller du cabinet s’attache, en toute exécution de mission, à distiller pour obtenir la satisfaction du client mais plus encore sa confiance !

Aussi, dans cette période toujours très troublée (une constante), je ne voulais pas rentrer dans la polémique :

Skiera, skiera pas ? / Vacances ou confinement ? 

A l’heure où  j’écris, rien n’est encore décidé. Mais la perspective n’est pas très optimiste !

Alors n’en parlons plus et inscrivons-nous dans ce cercle vertueux et amoureux oserai-je dire !

Pour ce faire :

  • Pour les Valentins, un bon début, la musique : un peu rétro mais remise au goût du jour par les pubs.

Exemple : « The Platters » avec le morceau « The Magic Touch ! ».

  • Pour le cabinet LPF, le supplément d’âme dont nous parlions : le savoir faire de La Peyrouse Finance, son expérience, à la pointe de tout ce qui se fait en matière de défiscalisation et de placements financiers (mobiliers et immobiliers), sa modernité. Pour vous envelopper dans un nuage de sécurité et vous rassurer dans votre avancée dans la gestion de votre patrimoine !

C’est le jeu de la séduction win/win !

« L’amour » que porte LPF à son Client versus celui de Valentin à sa Valentine :

1°) La promesse :

  • Pour LPF : celle de vous accompagner, vous conseiller et s’engager sur du résultat en adéquation avec votre profil.

  • Celle de Valentin : « – Vous aimer, ma Douce ! »

2°) Le tour :

  • Pour LPF : ne pas faire disparaître ce que vous possédez. Mais le déplacer sur des supports qui vont vous donner du rendement tout en ménageant votre impôt !

  • Celui de Valentin : « – Voici la clé de mon appartement… »

3°) Le prestige :

  • Pour LPF : suite à un temps donné, suivant les contraintes et le cadre de vos précédents investissements, vous permettre d’utiliser votre épargne « up gradée ». Et ce pour investir dans une nouvelle opportunité et continuer l’aventure en augmentant encore votre patrimoine.

  • Le Prestige de Valentin : « – Que diriez-vous, ma Belle, de prospérer et de fonder une famille ?! »

Bon, j’avoue que le parallèle est un peu tiré par les cheveux, mais vous avez compris l’idée !

Bon alors, même si, en tout, il faut raison garder, et ne pas se lancer sans réflexion (Valentin, sérieusement c’est un peu rapide comme demande, non ?!… cela dit, qui ne tente rien 😉).

La Peyrouse Finance est d’accord pour dire que la situation inédite demande des précautions. La prudence est de rester actif dans la construction de son patrimoine. Poursuivre en saisissant les opportunités en toute conscience de l’environnement et des circonstances actuelles, en prenant des risques mesurés dans vos investissements en adéquation avec votre profil et votre appétence face aux risques.

Ainsi, l’amour du risque peut se conjuguer avec une certaine prudence et par là-même moucher ce cher Jean de La Fontaine en disant :

« – Fontaine, Fontaine je ne boirai pas de ton eau !  »

La minute culturelle :

A l’époque, les gens qui ne savaient pas écrire signaient leurs documents officiels avec un « X ».

La signature avait lieu en présence du destinataire et le signataire devait apposer un baiser sur sa signature pour faire foi de son engagement.

C’est pour ça que sur certaines lettres d’amour, on retrouve un X en bas de page.

Aujourd’hui encore, les Anglo-saxons les utilisent dans leurs sms.

Et ados, peut-être avez-vous conservé la tradition avec des « XOXO »… Gossip Girl (même si le nouveau billet à lire sans attendre est signé Lady Whistledown 🤫).

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