Le calendrier en ce début d’année nous impose un rythme effréné. Entre les vœux du mois de Janvier à peine terminés, et ceux « d’amour fou » du mois de Février sur lesquels il faut plancher…
Cela me conduit directement à ce « parallèle téléphoné » autour de l’appétence au risque :
Dévoiler son amour sans être sûr qu’il est partagé et se lancer dans l’aventure de l’investissement financier.
La similitude réside dans la volonté de prendre un risque pour se donner une chance d’accéder à son objectif.
L’appétence au risque ou « risk appetite », disais-je, est au cœur des préoccupations des compagnies d’assurance.
On peut définir cette notion comme le niveau de risque qu’un assureur est prêt à assumer pour mener à bien chacune de ses opérations. Mais le plus intéressant est de voir qu’on a aujourd’hui l’obligation de mesurer l’appétence de l’investisseur au risque pour atteindre un ou plusieurs de ses objectifs financiers.
La Peyrouse Finance dit que la notion de risque est une notion ambivalente car, pour nous financiers, la notion fait généralement référence au couple : performance/risque !
La difficulté est de calibrer le baromètre de l’appétence au risque. C’est tout de même la pierre angulaire du pilotage de l’investissement !
Pour ce faire, la société La Peyrouse Finance dispose d’outils, de questionnaires règlementaires et surtout de son analyse.
D’ailleurs, généralement, l’appétence au risque se résume à la question :
« Combien êtes-vous prêt à perdre pour éventuellement gagner plus ?! »
Dans cette perspective, il faut avant tout trouver son seuil de tolérance. Définir un cadre avec des risques mesurés.
Ce qui permet sereinement de vivre l’avenir car la pire des projections a été envisagée.
Ce cadre est la décision de l’investisseur :
– soit de maximiser sa rentabilité pour un niveau de risque plafonné.
– soit de minimiser le niveau de risque pour une rentabilité donnée.
Pour ce qui est de l’appétence au risque financier, La Peyrouse Finance peut vous accompagner dans cette démarche, nous pouvons vous conseiller, il est même inscrit dans notre ADN de résoudre cette problématique.
Mais en ce qui concerne la Saint-Valentin, et l’appétence au risque amoureux, nous sommes au regret de vous dire qu’il faudra vous débrouiller sans nous 😉
La minute culturelle :
Pour la Saint-Valentin, préférez un film plus romantique…
Ou optez pour un film d’horreur, après tout, c’est vous qui prenez le risque !
Suivez-nous !
👇 👇