
Les contrariants : l’investissement contrariant consiste à investir à contrecourant du marché.
Le contrariant apprécie les titres injustement en difficulté.
Investir dans un actif qui n’est pas à la mode est la stratégie.
Investir dans les actions les plus shortées.
Viser une performance supérieure en exploitant les erreurs de la foule (une stratégie audacieuse) en investissant sur des titres non populaires à court terme.
Selon Boursorama, un investisseur contrariant pense que, lorsqu’un très grand nombre d’investisseurs sont positifs sur une valeur, à priori tous l’ont en portefeuille. Et par voie de conséquence la valeur est à un pic puisque, pour que son prix augmente, il faut des acheteurs supplémentaires.
Ces derniers seront peu nombreux puisque déjà presque tous investis (pour les investisseurs sur le coup et intéressés) sur cette valeur.
Le potentiel de hausse est donc faible, voire même la baisse est proche et pratiquement inéluctable.
À l’inverse, lorsque plus personne ne veut d’un titre, ce dernier n’est plus présent dans les portefeuilles et donc peu d’investisseurs peuvent encore le vendre.
Ainsi, le potentiel de baisse est faible, puisqu’il faut des vendeurs pour faire baisser un titre.
Le prochain mouvement sera probablement la hausse selon l’investisseur contrariant.
Le fondement théorique de cette méthodologie d’investissement est assez séduisante car cohérente.
Cependant, l’écueil reste le choix de la bonne valeur qui baisse par rapport à toutes celles qui baissent.
Et à quel moment il convient d’intervenir dans une dégringolade !
L’analyse du pourquoi, du comment est nécessaire pour juger de l’espérance d’inversement de courbe et de situation.
Si la crise est momentanée, que la solution n’est qu’une question de temps…
Le jeu est risqué, donc, comme d’habitude en matière de bourse, il faut avoir du temps devant soi et ne pas avoir besoin des fonds investis avant au moins 8 ans pour laisser les choses se faire…
Le cabinet La Peyrouse Finance et votre expert à votre service ne sauraient vous conseiller que d’investir avec parcimonie et juste en diversification sur ce genre de pari.
Pari qui, dans tous les cas, sera plus raisonnablement pris par un gestionnaire de fonds privé (conseillé par LPF), qui prendra la décision pour vous pour doper votre portefeuille.
Et ce, parce que vous aurez indiqué dans votre profil de risque que vous êtes ce genre d’investisseur avec une appétence aux risques !
Investissez dans des sociétés solides qui ne sont pas actuellement favorisées par le marché.
Et gardez dans tous les cas présent à l’esprit que les rendements à long terme des actions (le taux de base) sont beaucoup plus susceptibles de se rétablir, en partie à cause de la régression vers la moyenne.
Car partez du principe que, si les rendements sont particulièrement élevés ou faibles, ils sont probablement anormaux.
Dixit David Dreman (le Pape de l’investissement contrariant)
Ainsi, la connaissance des marchés est une obligation absolue et minimum pour avancer sur ce genre de terrain.
Et on ne peut pas dire que tout soit très clair en ce moment, notamment sur les marchés internationaux.
On citerait alors Olivier De Berranger (La Financière de l’Échiquier) :
À l’international, la concurrence déloyale use la résistance de l’Europe qui se bat mais qui espère une redistribution des cartes plus équitables dans la distribution des contraintes et obligations !
«Toute embellie sur l’allègement du fardeau règlementaire et la réelle mise en place d’un choc de simplification dégageraient l’horizon.
En attendant ce choc tant espéré, le RIA – Règlement européen sur l’Intelligence Artificielle – entre en vigueur, venant s’ajouter aux exigences du RGPD sous l’égide de la CNIL, sans oublier DORA, applicable depuis le 17 janvier, qui s’adresse plus spécifiquement aux services financiers, alors que l’avenir de CS3D et CSRD se joue en ce moment.» *
On n’est pas à un paradoxe près ! D’où la grande difficulté de discernement…
Le conseil de LPF : compter uniquement sur les professionnels (sélectionnés et palmés par LPF, en ce mois de festival… de Cannes !). Car, à n’en point douter, c’est un véritable métier.
Pour mémoire, le cabinet La Peyrouse Finance offre à ses clients un accompagnement patrimonial complet, pour résoudre leurs différentes problématiques et établir une stratégie patrimoniale cohérente et en adéquation avec leurs objectifs.
Les domaines de compétences sont pluridisciplinaires, mais les conseillers du cabinet LPF n’hésitent pas à travailler en synergie interprofessionnelle et à mobiliser des partenaires experts et spécialisés pour une meilleure efficacité (notaires, experts comptables, avocats, conseillers juridiques…).
Ainsi, avec un seul interlocuteur qui facilite la liaison entre tous les intervenants sur un même dossier, vous avez accès à une expertise pointue et complète sans aucune zone d’ombre et d’oubli, vous pouvez avancer sans arrière-pensée et donc prendre des décisions rapides et tranchées.
La phrase pour vos dîners en ville :
« – Je me serai bien prêtée au jeu des dictons du type : il faut vendre au son du violon et acheter au son du canon et donc, moi qui suis si conciliante aller contre ma nature, en mode rock attitude !
Mais être une rebelle n’est pas si simple, et je n’ai pas cet aplomb car je ne savais vraiment pas où aller et par quoi commencer…
Heureusement, mon conseiller La Peyrouse Finance rencontré à cette occasion (donc bonne) était là, et a calmé mes ardeurs tout en me donnant satisfaction parce qu’un professionnel m’a accompagné pour prendre la décision et le risque calculé pour moi.
Du coup, est-ce que ça compte ?
Suis-je quand même « Rock and roll » ?! »
*
- RGPD : règlement général français de protection des données.
- CNIL : commission nationale française de l’informatique et de Libertés.
- Dora : digital operational resilience act.
- CS3D : corporate sustainabibility due diligence directive 2024
- CSRD : corporate sustainability reporting directive