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Le point Némo - La Peyrouse Finance

Et si on utilise toute l’imagerie : on nage.

On ne sait pas si vous êtes comme nous, mais la plupart du temps, lorsque qu’on assiste à une conversation ésotérique, on a deux réactions possibles :

  1. Soit ça nous agace car on ne comprend rien.
  2. Soit cette proximité entre deux personnes, qui utilisent un langage compréhensible apparemment uniquement par elles, nous donne envie !

Du coup, comprendre devient une solution …

Et, en plus, comme il s’agit du langage financier : nous vous invitons !  

Message reporting à un conseiller financier (LPF) d’un entretien d’un autre de nos conseillers financiers (LPF) avec un fournisseur :

« J’ai eu un entretien hier avec XXXXX pour faire un point sur la stratégie du fonds QUEST (support en pièce jointe), et il m’a indiqué avoir un fonds purement QUANT avec le biais sustainable et qui a un béta de 1 et cherche un alpha de 1-2 sur un bench sur le MSCI World. »

Du coup, traduction et on plonge en immersion totale avec d’abord diverses définitions :

  • XXXXX : société de gestion et gestionnaires d’actifs.

  • Un fonds est un ensemble de valeurs sélectionnées par une société de gestion.

  • Fonds Quest : investit dans différents segments tels que l’énergie renouvelable, l’efficience énergétique, la gestion des eaux, des déchets et de l’environnement, et les nouveaux matériaux.

  • Quant : un fonds purement quantitatif. C’est-à-dire qui a sélectionné des sociétés sur des bases de performances passées sans intervention extérieure (stat et regroupement). Et pas de choix qui serait lié à une anticipation avec projection d’un raisonnement humain.

Quant analyse les données mathématiques pour minimiser les risques, optimiser la sécurité de la transaction, prévoir les mouvements de marché et prendre un bon positionnement au niveau de la tarification.

  • Sustainable : qui prend en compte des éléments ou critères extra financier. Comme le respect de l’environnement ou des personnes ou d’un management social.

  • Un bêta de 1 : bêta est un critère d’analyse financière. Et « 1 » mesure un score où l’exposition au risque est la même que celle de l’indice de référence (dans ce cas, l’actif a tendance à avoir une volatilité en tandem avec le marché de référence). Un bêta inférieur à 1 indique que le fonds est moins volatil que l’indice de référence.

  • Alpha : mesure la sur-performance par rapport à la performance de l’indice choisi. C’est, en fait, une mesure permettant de calculer la performance d’un portefeuille d’investissement par rapport à une valeur de référence. Habituellement un indice boursier. En d’autres termes, c’est le degré avec lequel un investisseur a réussi à « devancer » le marché sur une période de temps.

  • Bench (ou indice de référence qui sert de base de comparaison) : il permet d’évaluer la performance d’un actif financier (et donc la qualité de la gestion réalisée), en la comparant avec celle de l’indicateur, en l’occurrence le MSCI World.

  • MSCI World : indice des grandes sociétés mondiales, c’est l’acronyme de Morgan Stanley Capital International index. C’est aussi l’indice boursier mondial de référence (85% du marché mondial représenté). Il est composé des 1400 plus grandes entreprises des pays occidentaux / diversifié géographiquement dans 23 pays différents. Et diversifié sectoriellement dans 11 secteurs d’activités différents.

On vous rassure, la plupart du temps, savoir de quoi parlent les professionnels ne vous concerne pas, car il s’agit de leur travail de débroussailler pour vous les difficultés.

Un digest est suffisant.

Il vous suffit de surnager et de comprendre ce qui vous intéresse.

À charge pour votre conseiller de vous expliquer les éléments que vous devez comprendre et prendre en compte pour vous décider.

Ainsi, lorsque vous êtes au point Némo *, comprenez lorsque vous êtes en hyperventilation parce que les documents explicatifs de votre investissement sont abscons et vous créent des inquiétudes.

C’est le rôle de votre conseiller financier LPF de « digérer tout cela » pour vous le retransmettre dans un langage compréhensible et simple, en gros vous aider à faire la planche et flotter.

Maintenant, pour ce qui vous intéresse, la conversation d’un peu plus haut s’entend :

En fait, c’est une conversation entre un conseiller financier et un fournisseur qui lui parle d’un produit qui a été sélectionné par un gestionnaire suivant un process purement analytique (basé sur des stats sans projection humaine) et avec le respect de l’environnement et qui promet une bonne progression en allant chercher une sur performance en référence à un indice déjà bien côté.

Le point Némo * : Le point Némo est le pôle maritime d’inaccessibilité, c’est-à-dire le point de l’océan le plus éloigné de toute terre émergée sur la planète Terre.

Plus simplement, le point Némo, c’est le point le plus éloigné de toute civilisation.

En allégorie comprendre de toute compréhension humaine.

Mais, pour le point Némo, si vous préférez penser au personnage de Disney : le poisson clown Némo. Ça marche aussi !

Après cela, on a envie de vous dire :

Bénéficiez de la sélectivité, accédez au meilleur.

Saisissez les opportunités, profitez de la diversité, investissez en toute agilité et sérénité.

Ayez toutes les cartes en main pour identifier les meilleures opportunités, et pour ce faire, sachez qu’il vous suffit d’avoir à vos côtés un conseiller financier du cabinet La Peyrouse Finance.

En gros, plus simplement et surtout plus directement :

Pour gérer votre patrimoine : choisissez Le Cabinet La Peyrouse Finance !

La minute culturelle :

Cinéma :

  • « Bridget Jones : Folle de lui«  : Bridget a toujours une belle résistance au froid et à la neige en mini jupe, une belle propension à attirer les hommes, l’air de rien, et qui eux ont, en contrepartie, un effet décoiffant sur elle . Mais l’histoire reste cohérente, attachante, charmante. Et nous donne une fois de plus raison d’avoir aimé et d’aimer les Bridget’s Jones à travers les âges. Même si les années n’ont pas l’air d’avoir trop d’emprise sur elle ! Le soir de la Saint Valentin, film applaudi par la salle en province, si ça c’est pas une preuve 😉

  • « God save the Tuche » : Ou celui de trop ! Le 2, 3 et 4 s’étaient appauvris au niveau de la surprise mais restaient dans un esprit bon enfant. Et même si les frites sont éternelles, Le 5 abuse des ficelles et tire trop sur la corde. Les acteurs font quand même ce qu’ils peuvent … Alors, de deux choses l’une, Rouve en tant que réalisateur n’a rien pu y faire, ou alors est responsable de notre déception (car, cela dit, à part nous, le film connaît quand même un bon succès). Ainsi, pour nous toujours, Olivier Baroux a su s’arrêter à temps.

Théâtre :

Expos :

  • « Chiharu Shiota«  : Les installations sont intéressantes mais les places sont chères par rapport à ce que l’on voit ! C’est un peu court.

  • « Dolce et Gabbana du cœur à la main » au Grand Palais : du déjà vu qui ne mérite pas l’engouement suscité. Cependant, renouer avec le Grand Palais reste un bon moment.

  • « Réouverture à Cannes de la Malmaison » : Un lieu d’exposition sur trois étages face à la mer. Actuellement, exposition « Luxe, calme et volupté », une expo sur mesure pour les clients du cabinet La Peyrouse Finance : tout en charme avec une grande diversité d’artistes. Et en plus, un spot : un roof top, salon de thé dont l’accès est indépendant des expos et qui ouvre une vue à 180 degré en plein milieu de la Croisette, en centre ville, une vue donc sur la mer, les palmiers et la montagne : idylique, paradisiaque, fou, fou, une œuvre absolue en soi… Welcome to Cannes !

Série :

  • « Mademoiselle Holmes » : Lola Dewaere et Tom Villa jubilent et prennent un réel plaisir à interpréter ces rôles de prédilection, pour ce duo de choc, et qui leur permet de donner toute leur mesure !!! Une saison 2 qui confirme l’intérêt. 

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