En ce début d’année, même ou surtout parce que les temps sont troublés, gardons une grande ouverture d’esprit et voyageons, voulez-vous.
« Offrons » nous aux autres ne serait-ce que par le biais de la langue déjà (et pas que par les « bisous » s’entend… bien que l’Amour soit le bon choix dans tous les cas !) :
So, first of all (« english » oblige), et comme une bonne habitude, commençons par souhaiter la santé (health) pour vous et les vôtres.
C’est un minimum 😉
Ensuite, il va de soi que l’essentiel après la base est : la Liberté ! Liberté d’être ce que l’on est.
Les espagnols la scandent : Libertad !
Nous vous proposons maintenant d’avancer, non pas avec la mauvaise foi de Shaggy, mais plutôt avec l’espièglerie du gamin pris le nez dans le pot de confiture : « Wasn’t me ! » ou encore « Maurice, tu as dépassé les bornes des limites ! ».
Et donc pour poursuivre, empruntons aux italiens en revenant à la jouissance des petits plaisirs qui font le sel de la vie.
Prendre son pain et saucer son assiette ou faire la « scarpetta », comme ils disent.
« Wasn’t me !» (en toute innocence et les doigts encore tout gras de jus. On sait ce qui est bon ou pas ?! Mais pour l’Italie, ça marche aussi avec les spaghettis, les raviolis, les cannolis… )
Au Brésil se noyer dans la Caïpirinha ! (l’abus d’alcool est dangereux pour la santé)
À votre santé « sua saude » c’est le cas de le dire, « wasn’t me » (ben, la preuve, on s’en souvient plus !).
Bon, il existe aussi le vin triste, et là, on peut très vite basculer sur la « Saudade ».
Émotion complexe portugaise qui mèle mélancolie, nostalgie, et espoir.
Nous lui préfèrons la feijoada, un plat portugais pour le moins roboratif… mais on est en hiver ou pas ?!
En parlant des saisons qui défilent :
Wallah, se cantonner à son pré carré alors que le monde et ses richesses nous appellent !
Inchallah qu’on puisse économiser suffisamment pour voyager.
Ou encore troquer le ski contre l’exotisme.
« Wasn’t me ! », mais non, on n’a pas saboté la résa des Deux Alpes. On aime bien aussi la montagne (ne pas oublier de sourire pour appuyer le stratagème 😏).
Et toujours, continuer d’explorer, visiter, expérimenter.
Warum nicht ?! Berlin booké sur un weekend de façon unilatérale en mode surprise. « Wasn’t me », on a gagné un voyage !
Eureka : la Grèce en septembre comme des vacances après les vacances. C’est toujours une bonne idée même si elle n’est pas de nous. « Wasn’t me ! »
Mais, dis donc, nos vœux ne prôneraient-ils pas le mensonge par hasard ? Hey, dude (nous ne pouvions pas ne pas citer les américains), stay cool baby, sinon je te dirai bye bye.
Nous faisons juste des suggestions, des propositions, un peu malgré nous.
You know : « wasn’t me ! ».
D’ailleurs, c’est vous qui nous disiez vouloir utiliser Namasté en Inde.
Moins interlope qu’en France ou en Europe, plus approprié, moins bobo, bref sur place quoi. Du coup « wasn’t me ! ».
Mais tout ça n’est rien.
On dira même mieux, le rien philosophique des russes : Nitchevo, du genre à quoi bon, tout cela nous dépasse, l’appel du grand air, l’aventure, etc, etc… « Wasn’t me » on vous dit !
Alors, merci de comprendre où nous voulons en venir.
Arigatô en japonais, s’il y en a qui s’exportent, c’est bien eux.
Ils ne nous jetteront pas la pierre mais plutôt un appareil photo !
Et dire OK (qui s’est fait une place partout sur la planète et a investi toutes les langues, il met tout le monde d’accord, même Jacquouille la fripouille, c’est tout dire !).
Oui, oui, dire OK tout simplement, et partir en voyage.
Alors voilà, en gros, pour répondre à l’envie du moment, nous vous souhaitons pour 2025 de conjuguer voyages à tous les temps, tout les modes, même imaginaire.
L’important étant de dépasser les limites !
Et de continuer de vous amuser en chahutant votre quotidien sous un pseudo couvert et seulement si nécessaire, mais en toute bonne foi, et pour la bonne cause d’un : « Wasn’t me ! ».
Les clients du cabinet La Peyrouse Finance pourront faire appel à leurs conseillers LPF qui seront à leur disposition pour faire les rachats requis sur les gains de leurs contrats d’assurance vie afin de financer leurs déplacements !
Parce qu’au final : « Was me !« .
